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Antonio Casilli à l'émission du mois de Téléscience (Science.gouv.fr)
Antonio A Casilli, auteur de Les liaisons numériques. Vers une nouvelle sociabilité ? (Seuil) interroge la notion d’amitié en ligne dans l’émission du mois de Téléscience sur le portail du Ministère de la Recherche science.gouv.fr. La vidéo est tirée de son intervention à l’Université Paris Diderot dans le cadre des “13 minutes, les petites conf’ des grands moulins”, du 8 novembre 2010. “Alors que le réseau social Facebook se place au troisième rang (648 millions de visiteurs uniques en novembre 2010) des sites les plus visités au monde, le sociologue Antonio Casilli interroge la notion d’amitié telle qu’elle se pratique en ligne. Invitant à remettre en question une ‘vision hydraulique’ de la sociabilité en ligne, il teste l’hypothèse selon laquelle la communication en ligne se fait au détriment des échanges dans la ‘vraie vie’…”
What's the actual size of your personal social network? Some numbers
In 1992 Robin Dunbar proposed a rough estimate of 150. But the “Dunbar’s number” pretty much doubled in 1998, when Peter Killworth suggested a mean personal network size of 290. And in 2010 that number doubled again, as Matthew Salganik came up with 610 personal. So who says 1,200?
"Les amitiés numériques" : Antonio Casilli invité des Médialogues (la 1ère RSR)
Le mardi 30 novembre 2010 le sociologue Antonio A. Casilli, auteur de Les liaisons numériques. Vers une nouvelle sociabilité ? (Seuil, 2010) est l’invité d’Alain Maillard et Martine Galland dans l’émission Médialogues, sur la 1ère Radio Suisse Romande (RSR). “Nous mêmes, en tant que chercheurs en sciences sociales, on a contribué, à un moment, à créer cette croyance selon laquelle les usages numériques seraient désocialisants. Au début de l’expérience du Web, dans les années 1990, dès qu’on a commencé à cumuler des données, nos études nous semblaient conclure que les premiers usagers avaient tendance à s’isoler. On a interprété ce besoin de d’enfermer chez soi pour apprendre à se servir d’un nouvel outil comme un signal d’atomisation sociale, de rupture du lien social…”
Séminaire EHESS "Corps et technologies des l'information et de la communication"
Première séance du séminaire EHESS “Corps et technologies des l’information et de la communication : Approches socio-anthropologiques des usages numériques” animé par Antonio Casilli (Centre Edgar-Morin, IIAC EHESS/CNRS).
Date : jeudi 25 novembre 2010
Horaire : de 17h à 19h
Lieu : salle 5, EHESS, 105 bd Raspail 75006 Paris.
"Repenser l’amitié dans les réseaux sociaux en ligne" : vidéo d’Antonio Casilli à ‘Treize Minutes’
Le sociologue Antonio Casilli, auteur de Les liaisons numériques. Vers une nouvelle sociabilité ? (Seuil, 2010) a été l’invité de la manifestation scientifique “Treize minutes – Les petites conf’ des grands moulins”. La vidéo de son intervention, est désormais disponible en ligne sur le site web de la Médiathèque de l’Université Paris Diderot “Internet, menace pour le vivre ensemble ou occasion de développer le capital social ? Tiraillés entre « tabou de la rencontre directe » et envie de cohésion et de partage, les échanges au sein des réseaux sociaux peuvent être analysés sous l’angle de l’amitié. Cette notion est omniprésente dans le Web d’aujourd’hui, où elle désigne la forme idéale de la sociabilité numérique…”
'Les liaisons numériques' à la Chronique de l'Invisible (podcast Radio Nova, 5 nov. 2010)
Ecouter le podcast : sur Radio Nova, Lilas Guevara interviewe Antonio A. Casilli, auteur de Les liaisons numériques. Vers une nouvelle sociabilité ? (Seuil, 2010) dans l’émission La Chronique de l’Invisible de vendredi 5 novembre 2010 : Facebook, ses métaphores d’amitié et d’amour, la force de la banalité dans les réseaux sociaux, les risques et les potentialités des réseaux sociaux et des échanges en ligne…
Facebook et les métaphores d'amour : Antonio Casilli interviewé dans Le Soir du 29 oct. 2010
Dans le quotidien de Bruxelles Le Soir du 29 octobre 2010, le sociologue Antonio Casilli, auteur de Les liaisons numériques. Vers une nouvelle sociabilité ? (Seuil, 2010) répond aux questions de William Burton. Le sujet : Facebook, son succès, sa signification culturelle, ses retombées sociales. L’usage du populaire service de réseautage en ligne est enraciné dans la réalité sociale, selon Antonio Casilli. “Facebook en tant que “produit de l’esprit” peut devenir une sorte de fantasme de socialisation parfaite. A mon avis, il ne faut pas sous-estimer les fantasmes comme celui-là, parce qu’ils sont une sorte de répertoire de tous nos desiderata sociaux. Je regarde Facebook comme une expérience dans laquelle on est en train de mettre à plat tout ce que l’on désire d’une communauté…”
"Les liaisons numériques" au 17/20 de Michel Field sur LCI (21 oct 2010)
Jeudi 21 octobre 2010, Antonio Casilli,auteur de Les liaisons numériques. Vers une nouvelle sociabilité ? (Seuil, 2010), est l’invité de Michel Field sur le 17/20 de LCI. L’occasion pour parler avec la journaliste Delphine Soulas et le musicien Marc Fanelli-Isla des réseaux sociaux et des structures relationnelles qu’ils aident à créer.
Dans 20minutes du 21 octobre 2010
Dans le quotidien 20minutes du 21 octobre 2010, le sociologue Antonio Casilli, auteur de Les liaisons numériques. Vers une nouvelle sociabilité ? (Seuil, 2010) explique comment Facebook reconfigure les rapports entre parents et enfants. “Sur le célèbre réseau social, les demandes d’amitié entre parents et enfants se multiplient… Selon Antonio A. Casilli, auteur des Liaisons numériques, les parents sont coincés entre «un besoin de contrôle et une volonté de laisser à leur enfant un outil développant leur autonomie»…”
Dans 20minutes.fr du 18 octobre 2010
Dans 20minutes.fr le sociologue Antonio Casilli, auteur de Les liaisons numériques. Vers une nouvelle sociabilité ? (Seuil, 2010) explique le fonctionnement des réseaux sociaux en ligne comme Facebook… quand ils s’allient avec des moteurs de recherche comme Bing. Propos recueillis par Charlotte Pudlowski. Le Web est capable de créer des passerelles entre les différents milieux sociaux que nous traversons. Notamment, grâce à une propriété des réseaux sociaux qui est la «transitivité»…