Dans 01 Informatique Business et Technologies (5 -12 mai 2011)
Dans le n. 2083 du magazine 01 Informatique Business et Technologies, la journaliste Marie Jung interviewe le sociologue Antonio Casilli, auteur de Les liaisons numériques. Vers une nouvelle sociabilté ? (Ed. du Seuil)., sur les conséquences culturelles de l’introduction des réseaux sociaux dans les entreprises. “Leurs utilisateurs projettent des attentes spécifiques sur ces outils. Ils sont à la recherche d’une communauté idéale, qui renvoie à une quête d’authenticité dans l’entreprise. Le monde du travail moderne, apparu au XIXe siècle, est régi par des conventions très rigides qui nous font dissocier notre figure professionnelle de notre moi authentique. Au contraire, les réseaux sociaux sollicitent une sorte de sincérité et modifient les relations humaines…”
Au Royaume-Uni aussi, plein plein plein de racisme dans le football
Ben quoi ? Je ne veux pas être le seul sociologue de France à ne pas parler de ça…
Avatar activism and the "survival of the mediated" hypothesis
By now, you’re all way too familiar with the Egyptian Facebook activism. And everybody and his sister has spent the last year-and-a-half discussing how wrong was Malcolm Gladwell in dismissing Moldovan Twitter activism. And millions of you have smiled at Gaddafi’s crazy rant against Tunisian Wikileaks activism. But I’m sure the notion of Avatar activism appeals to a more restricted audience.
"Santé future, inégalités passées" : Antonio Casilli au Débat eSanté de Regards Sur Le Numérique
Le sociologue Antonio Casilli, auteur de Les liaisons numériques. Vers une nouvelle sociabilité ? (Ed. du Seuil) participe au Débat de RSLN “eSanté : le futur est-il déjà là ?” “Un déplacement progressif des scènes de l’exclusion et de l’isolement social pourrait s’opérer si la « fracture numérique » finissait par recouper une « fracture sanitaire » entre usagers ayant accès à de l’aide en ligne et à de l’information de qualité et des couches de population progressivement évincées de cette démarche d’ ’empowerment’ des malades. Le risque est que les usages numériques contribuent à exacerber ces inégalités…”
Dans Dilema Veche (Roumanie, 21-27 avril)
Dans le n. 375 de l’hebdomadaire Dilema Veche, un article sur l’amitié en ligne : l’occasion pour présenter au public roumain les travaux du sociologue Antonio Casilli, auteur de Les liaisons numériques. Vers une nouvelle sociabilité ? (Ed. du Seuil). “Lucian Popescu îl citează pe sociologul francez Antonio Casilli care susţine că nu există o ruptură între planuri, între viaţa reală şi spaţiul virtual…”
Colloque Performance, théâtre, anthropologie (INHA/EHESS, 24-25 mai 2011)
J’interviendrai lors de ces deux journées d’études organisées par Georges Vigarello, Sylvie Roques et Christian Biet. Voilà pour l’instant l’argumentaire… read more Colloque Performance, théâtre, anthropologie (INHA/EHESS, 24-25 mai 2011)
"Internet accentue plus qu'il ne provoque les évolutions sociales" : dans Alternatives Economiques (n. 301, avril 2011)
Dans le magazine Alternatives Economiques, le chercheur Igor Manache propose une réflexion sur l’impact social des technologies de l’information et de la communication développant les théories contenues dans Les liaisons numériques. Vers une nouvelle sociabilité ? (Ed. du Seuil) d’Antonio Casilli…
Dans Rue89 (22 avril 2011)
Dans le site Web d’information Rue89, Yann Guégan signe l’article “Ça trolle sévère dans les commentaires, mais que faire ? “, dans lequel il se penche sur la question des commentaires parasites, des débats qui les attirent et des meilleures méthodes pour les gérer. L’occasion de citer les théories d’Antonio Casilli, auteur de Les liaisons numériques. Vers une nouvelle sociabilité ? (Ed. du Seuil) qui analyse ce phénomène à l’aune des théories sociologiques. “En attendant de bouter les trolls hors de Rue89, on pourra se consoler avec l’analyse du sociologue Antonio Casilli, spécialiste de cette engeance, cité par Télérama : « Personne ne naît troll, tout le monde peut le devenir. […] Le troll est le négatif dialectique. Celui qui met les pieds dans le plat, casse les codes, conteste l’autorité. Son intervention est capitale dans le processus social. Il produit du débat et enrichit in fine la qualité du Web. »…”
"Quelle éthique dans les réseaux sociaux ?" : Antonio Casilli et Pierre Antoine Chardel au séminaire Ars Industrialis (23 avr. 2011)
Le philosophe Pierre-Antoine Chardel (Institut Télécom) et le sociologue Antonio Casilli, auteur de Les liaisons numériques. Vers une nouvelle sociabilité ? (Ed. du Seuil) interviendront dans le cadre de l’atelier “Technologies relationnelles” de Ars Industrialis. L’intervention “Corps et santé dans les réseaux sociaux : quelle éthique ?” aura lieu le samedi 23 avril 2011, 14h à la Maison des associations du 17e arrondissement de Paris (25 rue Lantiez – Paris). L’association internationale Ars Industrialis, “pour une politique industrielle des technologies de l’esprit”, a été créée en 2005 à l’initiative de Bernard Stiegler. Le groupe “Technologies relationnelles” est coordonné par le philosophe Christian Fauré.
"La vie privée en réseau : attention aux inégalités sociales" : Antonio Casilli dans Le Soir (20 avr. 2011)
“Dans le quotidien de Bruxelles Le Soir, William Bourton interviewe Antonio Casilli, auteur de Les liaisons numériques. Vers une nouvelle sociabilité ? (Ed. du Seuil) à propos de la vie privée sur Internet : un enjeu de taille, surtout face à une montée du nombre de jeunes sur les réseaux sociaux. Et le sociologue de rappeler que les réseaux sociaux en ligne reproduisent les différences et les inégalités de la vie quotidienne – y compris dans l’apprentissage des règles de protection de la vie privée. “On a souvent tendance à considérer la vie privée comme un ensemble de « données perso » qui sont toutes sensibles et toutes de la même manière… alors que ceci n’est pas le cas. Selon le contexte et le réseau, le fait de donner mon adresse peut être anodin – par exemple dans un réseau où l’on a du e-commerce et où il faut recevoir des produits chez soi – ou devenir un vrai problème. Pour les jeunes, on a des réseaux qui sont ciblés du point de vue commercial et il n’y a rien de spécial à ce qu’un enfant y ait sa fiche. […] Danah Boyd (Harvard University’s Berkman Center for Internet and Society) a montré que cette idée de mise en péril de la vie privée cache une réalité sociale et certaines stratifications que l’on remarque dans la vie de tous les jours…”