Voilà les slides de la première séance 2015/16 de mon séminaire EHESS Étudier les cultures du numérique : approches théoriques et empiriques, qui a eu lieu le lundi 2 novembre 2015.
Pour comprendre les évolutions récentes des études portant sur le digital labor nous devons positionner ce sujet par rapport aux approches précédentes de “l’activité laborieuse implicite” (travail invisible, travail immatériel, travail des publics, travail des consommateurs…). Ceci nous permettra aussi de détecter les nouvelles pistes de recherche qui s’ouvrent aujourd’hui : coopérativisme des plates-formes numériques, globalisation du micro-travail, articulation avec les études subalternes.
Cette intervention s’efforcera de mettre en lien l’évolution de l’économie numérique au cours des années 2000 avec deux critiques qui lui ont successivement été adressées: la critique de la propriétarisation de l’information ; la critique du digital labor. Le cadre théorique de cette deuxième critique sera interrogé, notamment à partir de l’exemple des logiciels libres.
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